Blanc


« Avant, je ne cherchais le bonheur qu'à l'extérieur, je me réfugiais dans l'espoir d'une vie meilleure sans oser changer mon regard sur le monde. »
« Si un homme veut être sûr de son chemin, qu’il ferme les yeux et marche dans l’obscurité. »
« La musique donne une âme à nos cÅ“urs et des ailes à la pensée. »
« La seule révolution possible, c’est d’essayer de s’améliorer soi-même, en espérant que les autres fassent de même. Le monde ira mieux alors. »
« L’âme est le puits le plus sombre, mais elle est aussi la bougie la plus lumineuse. »
« Si vous vivez un moment difficile, ne blâmez pas la vie ! Vous êtes juste en train de devenir plus fort. »
« J’ai souvent trouvé des perles de lumières au cÅ“ur de mes sentiments les plus sombres. »
« Nous essayons de nous entourer d'un maximum de certitudes, mais vivre, c'est naviguer dans une mer d'incertitudes, à travers des îlots et des archipels de certitudes sur lesquels on se ravitaille... »
« La vie est remplie d'épreuves terribles, mais aussi de rencontres et de choses merveilleuses qui nous invitent à espérer. Espérer le meilleur sans perdre la lucidité du pire, c'est une intime sagesse. »
« Si notre coeur n'était pas intimement lié à l'espoir, nous ne trouverions pas la force de soulever le poids de nos paupières chaque matin »
« Si aider les autres vous paraît trop difficile, essayez au moins de ne pas leur nuire. »
« Et si c’était ça, le bonheur, pas même un rêve, pas même une promesse, juste l’instant… »
« La peur est une réaction, le courage est une décision. »
« Tous peuvent entendre, mais seuls les êtres sensibles comprennent. »
« Rien n'est permanent dans ce monde, même pas nos problèmes. »
« J'aime ces doux oiseaux, qui promènent dans l'air, leur vie et leur amour, et plus prompts que l'éclair, qui s'envolent ensemble. »
« La mer enseigne aux marins des rêves que les ports assassinent. »
« Le pessimiste se plaint du vent, l’optimiste espère qu’il va changer, le réaliste ajuste ses voiles. »
« J’ai toujours préféré la folie des passions à la sagesse de l’indifférence. »
« Il regarde la ville, cette superposition de mouvements. Ce territoire infini d'intersections, où l'on ne se rencontre pas. »